Des menhirs, pour un meilleur taux vibratoire sur la ferme

Source : https://www.entraid.com/articles/menhirs-meilleur-taux-vibratoire-ferme

Sourciers, guérisseurs, rebouteux… Malgré le manque de fondements scientifiques, certains de nos contemporains font régulièrement appel à ces méthodes ancestrales. D’autres les considèrent comme de la pure superstition voire du charlatanisme.

Cédric Foliard, éleveur en Ille et Vilaine, fait partie de ceux qui y croient. En 2017, quatre menhirs ont été installés dans ses prairies et orientés vers sa ferme, au lieu dit Beaulieu à Moutiers. «Le géobiologue est venu ici. Avec son pendule, il a repéré des méridiens à plus de 100 mètres de profondeur. Ce sont des failles dans le sol où de la bonne énergie ressort. Il a ensuite détecté plusieurs points autour de la ferme où des menhirs devaient être installés auparavant», explique-t-il.

La géobiologie est une discipline qui traite des relations de l’environnement, des constructions et du mode de vie avec le vivant. Elle étudie l’ensemble des influences de l’environnement sur le vivant, et notamment celles des ondes liées aux champs magnétiques et électriques, courants d’eau souterrains, failles géologiques, etc.

Étymologiquement, il s’agit d’une association de la racine géo (la terre) et biologie (l’étude de tout ce qui est vivant).

L’OBJECTIF EST AMÉLIORER L’ÉQUILIBRE GLOBAL DU LIEU

Les menhirs de Cédric, comme ceux de plusieurs agriculteurs de la région, sont réapparus récemment dans la campagne. Chaque caillou a une orientation (haut/bas). Il est enterré sur environ 40 cm et possède deux faces qui «pulsent» pour recevoir les énergies négatives et les transformer en énergie positive afin d’obtenir un «bon taux vibratoire».

Cédric croit en une sorte de sommes d’énergie qui peut améliorer le fonctionnement global de son foyer et de sa ferme. Il voit dans l’arrivée de ces menhirs la possibilité de capter les «mauvaises ondes» …(1)… qui pourraient venir perturber le bon fonctionnement du vivant et donc de son terroir et de son troupeau

Mes remarques

1 => j’ai tronqué l’article car il était écrit que Cédric pense que les menhirs vont neutraliser les ondes électromagnétiques des portables et du Wi-Fi, par expérience je sais que non. Les pierres vont bloquer les nuisances venant du sous-sol, ils vont rétablir l’équilibre cosmo-tellurique, ils vont faire monter le taux vibratoire du lieu, ce qui pourra être que bénéfique pour son exploitation si les pierres sont bien placées et si tout a été pris en considération, mais si vous venez avec des appareils de mesures vous aurez toujours l’antenne du coin, la THT, le wi-fi… qui émettent des ondes.
Le milieu agricole est, quelques fois, beaucoup plus complexe à traiter que le milieu grand public. La dimension des bâtiments et leurs principes de constructions, la qualité de l’installation électrique, qui est souvent une des premières causes de problèmes…
Un vrai professionnalisme est nécessaire et quoi qu’en pense certains scientifiques, ça marche… mais comme m’a dit un client « j’en parle pas, mes voisins vont me prendre pour un fou et pourtant mes bêtes et moi sommes  tellement mieux maintenant »

Une histoire vraie

Les perturbations tellurique peuvent agir très vite

Dans un autre constat établi par le docteur Hartmann (Eberbach, Neckar), une femme de 30 ans, excellente sportive, exerçait sans problème son métier d’institutrice.
Son mariage était heureux, le couple déménage dans un immeuble très moderne, construit en béton armé, largement équipé de baies vitrées.
Au bout de trois mois, cette femme commença à maigrir et à souffrir de tiraillements douloureux au fond de la gorge, les examens chez un spécialiste otorhinolaryngologiste ne donnèrent aucune indication.
À la longue, sans que des signes cliniques puissent être décelés, il s’en suivit une profonde dépression, puis une invalidité complète, six mois après son déménagement, cette femme était méconnaissable. Ce changement était-il en rapport direct avec la construction, les matériaux, le conditionnement d’air ou était-il propre à la constitution de cette jeune femme ?…
En fait, l’expertise géobiologique de sa chambre à coucher révéla un nœud du « réseau H » exactement dans la région du cou, au niveau de son lit, l’appareil de mesure, récepteur d’ondes ultracourtes, confirma de fortes perturbations sur cette zone précise.
Un simple échange de lit et une disposition correcte en zone neutre dans une chambre voisine permit à cette femme de retrouver du jour au lendemain des nuits satisfaisantes, et son équilibre général s’améliora rapidement sans traitement particulier, elle n’eut plus aucun symptôme à la gorge, et reprit son activité professionnelle au bout de quelques semaines.
À la lumière de cet exemple, on pourrait penser que l’habitat moderne, de par sa structure armée de barres de fer, ses matériaux à faible perméabilité, en d’autres termes, de par son côté quelque peu inorganique, a une part de responsabilité importante dans les modifications de l’état de santé des individus.
Mais d’autres expériences, menées à grande échelle sur de vieux quartiers, prouvent que l’habitat ancien n’est guère plus protecteur.
Dans ces vieux quartiers, ce ne sont pas les effets secondaires du béton armé et des matériaux modernes qui entrent en jeu puisqu’il s’agit souvent de constructions en pierre ou en brique. Ainsi, dans la relation santé-habitat, les causes d’implantations défectueuses et les conditions d’aménagement intérieur sont prioritaires sur la qualité constitutive des murs et des cloisons.