Un peu dhistoire

Tout au long des articles qui vont suivre, je vous raconterais des histoires basées sur des faits réels. Je ne peux pas vous garantir la véracité des faits mais leurs cohérences avec la géobiologie sera une évidence. Je vérifierais mes sources le plus possible. Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire vos commentaires.

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L’histoire qui suit est malheureusement le cas de beaucoup de maison qui reste dans l’ignorance. Il suffirait de faire venir un géobiologue pour que tout rentre dans l’ordre.

En octobre 1962, une fille de 13 ans, atteinte d’un réticulosarcome de la branche horizontale droite du pubis, décédait après 3 ans de désespoir et de souffrance, au deuxième étage d’un immeuble urbain, à Moulins-Izeure, dans l’Allier.

Dans ce cas, la famille avait installé deux lits  pour ses deux enfants, l’enfant décédé dormait dans le lit de gauche.

En 1963, le docteur Picard, de Moulins, avait eu fortuitement l’occasion de soigner les deux personnes qui habitaient l’appartement du troisième étage dans le même immeuble, l’une de ces deux personnes âgées était atteinte d’un cancer avancé de l’utérus, puis, au premier étage, c’est un grand-père qui souffrait d’un cancer de la prostate.

Après le décès du premier enfant, la famille déménagea, et une nouvelle famille vint s’installer à la place, avec deux enfants d’âge rapproché, de 11 ans environ, dans cette nouvelle situation, la chambre à coucher réservée aux enfants est la même, avec la même disposition

Telle une tragédie de Corneille, la même scène allait se reproduire, deux ans plus tard, l’enfant qui dormait à gauche présentait une légère difficulté à mouvoir son membre inférieur droit…

Des radiographies et des examens montraient alors que cet enfant était atteint d’un réticulosarcome de la branche horizontale du pubis droit, le hasard était-il responsable de la vie et de la mort de ces deux enfants ?…

Fort surpris, le docteur Picard eut l’idée de demander à ses confrères de Moulins s’ils avaient éventuellement en traitement des personnes habitant au quatrième ou au cinquième étage de ce même immeuble, on lui signala qu’au cinquième étage, quelques années auparavant, un monsieur décédait d’un cancer de la prostate.

Ce n’est qu’à l’issue d’une étude menée sur les lieux par Madame Blanche Mertz, responsable de l’Institut de recherches en géobiologie de Chardonne (Suisse), qu’une circonstance troublante se révéla : 
d’étage en étage, la présence d’un croisement du quadrillage ou noeud du « réseau H » se retrouvait sensiblement à la verticale, à l’emplacement des lits des malades.

Cet exemple est d’autant plus frappant que la position des chambres est identique dans cette construction, d’étages en  étages .

Par voie de conséquence, les lits occupent sensiblement les mêmes emplacements. La dimension des chambres est réduite au minimum : l’encombrement des portes et fenêtres ne permet pas plusieurs choix pour la position des lits, d’où la situation qui vient d’être décrite.

II faut ajouter que cette construction reposait sur de l’eau souterraine, à tel point que les murs étaient imbibés d’humidité, doublée de champignons noirâtres, jusqu’au niveau du troisième étage. L’étanchéité de l’immeuble ne souffrait pourtant pas de malfaçon mais, lors du chantier, il avait fallu pomper avec force cette eau inondant les fouilles, depuis, l’eau était remontée par pression électroosmotique le long des murs.

Dans le cas de cet immeuble, l’activité pathogène des noeuds de la résille s’en trouvait fortement renforcé.

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