Les veines d’eau – les failles – les réseaux telluriques

Les veines d’eau – les failles – les réseaux telluriques

Source: https://www.federationfrancaisedegeobiologie.fr/ffg/les-veines-deau-les-failles-les-reseaux-telluriques.html

Les rayonnements telluriques
Du sein de la terre se dégage du noyau central une énergie électromagnétique résultant de la différence de vitesse de rotation entre le noyau central formant le magma et l’écorce terrestre.
Ce phénomène engendre une formation de courants telluriques d’origine électrique, ces courants telluriques se déplacent à travers les diverses couches géologiques selon les voies de moindre résistance électrique, empruntant les chemins les plus conducteurs des couches en présence.
À faible profondeur, ces courants telluriques influent localement le champ magnétique terrestre externe et semblent non négligeables dans le maintien ou le développement des processus biologiques. Bien que leur intensité soit faible, ces courants empruntent parfois les voies d’eau, les filons métallifères ou profitent des accidents géologiques, tels les failles, des poches d’air (cavernes, galeries, grottes …) pour se cumuler à leur rayonnement et s’échapper du sol. Dans ces circonstances, ils peuvent perturber l’équilibre des lieux qu’ils traversent.

Les veines d’eau souterraines
Les courants d’eau souterrains, provoquent en circulant à travers les sables, graviers et autres failles terrestres, un courant électrique créé par la dissymétrie des charges positives et négatives des molécules d’eau.
Même s’ils se déplacent à des vitesses très faibles, ces courants d’eau suffisent pour provoquer des courants électriques mesurables, de l’ordre du millivolt.
La mesure des différents potentiels électriques de l’air et du sol, permet d’observer des bandes particulièrement actives à la verticale des rives des cours d’eau souterrains et à l’extérieur de celles-ci.
Nombreux sont les troubles observés dans les habitations construites sur des cours d’eau souterrains. Toutefois, tous les cours d’eau souterrains ne sont pas systématiquement pathogènes.
L’eau peut également drainer des traces de radioactivité et en charger n’importe quel corps: pierre, argile, marne… qui deviennent émetteur à leur tour.
Les veines d’eau souterraines sont sujettes à fluctuation, en fonction des mouvements de terrain qui se produisent occasionnellement et, bien sûr, des intempéries

Les failles
Une faille géologique provient de la séparation ou rupture d’une masse rocheuse. Si ces deux masses se déplacent l’une par rapport à l’autre, il apparaît une faille. Les failles créent des zones où le champ de rayonnement naturel est perturbé à la surface du sol.
Sans être réellement une faille, une brutale rupture géologique dans la composition superficielle ou profonde du sol, mettant en contact des matériaux de nature différente (argile et sable, par exemple), suffit pour provoquer un rayonnement capable de perturber une personne à un emplacement fixe.
En comparaison, l’influence à la surface du sol des failles géologiques est beaucoup plus intense et concentrée que l’influence des cours d’eau souterrains. Ces derniers peuvent se faire sentir à plus de 50 mètres de part et d’autre de la veine d’eau, en fonction du débit et de la profondeur. Par contre, l’influence des failles est très localisée.
Cela signifie qu’une habitation située sur un cours d’eau souterrain se trouve souvent polluée globalement par des émanations produites par le courant, alors que sur une faille, l’influence peut n’affecter qu’une seule pièce.
En matière d’harmonisation des lieux, les failles présentent l’avantage d’être stables par rapport aux veines d’eau souterraines. Mais elles peuvent se produire subitement à la suite de tremblements de terre.

Le réseau Hartmann ou global
Dans les années 1950, un pionnier des recherches en géobiologie, le docteur HARTMANN (allemand) découvrit, à la surface du sol, la présence d’un vaste réseau de rayons électromagnétiques sorte d’immense toile d’araignée.
Ce vaste réseau électromagnétique est semblable à un immense filet d’un quadrillage de dimensions apparemment fixes. Réparti sur la terre, on le retrouve en hauteur dans toute la biosphère. Les bandes verticales de ce quadrillage partant de la terre sont constituées de lignes de 21 cm de largeur qui suivent les directions géomagnétiques du globe: ces bandes s’orientent dans leur ensemble selon les pôles géomagnétiques.
Ce réseau quadrillé passe partout et se détecte sur terrain nu, en plaine, en montagne, sur les plans d’eau ainsi qu’à l’extérieur et à l’intérieur des habitations. Il se rencontre verticalement aux mêmes endroits à différents étages s’il n’y a rien qui le perturbe.
Ce réseau se manifeste sous forme de différence de potentiel électrique à la surface de la terre, Ces rayonnements modifient d’une part, le champ résultant des influences cosmo-telluriques et, d’autre part, la radioactivité naturelle du sol
On retrouve ces murs invisibles en moyenne tous les deux mètres dans le sens Nord-Sud et tous les deux mètres cinquante dans le sens Est-Ouest. A l’intérieur de ces lignes se trouve une zone dite neutre.
On constate, dans le cadre de cette résille tellurique, que le champ magnétique, à l’intérieur de la zone neutre, se différencie sensiblement de celui situé sur les lignes du réseau et, plus encore, à la verticale de leurs croisements (ou nœuds). Les nœuds de cette résille sont perturbants pour les organismes qui y sont soumis de façon prolongée. Les troubles, les maladies chroniques et aiguës se développent principalement à l’emplacement des lits et postes fixes, si la période d’exposition moyenne des individus est supérieure à quelques années.
En dehors des nœuds, sur le passage d’un « rayon », s’observent des troubles plus inoffensifs, allant d’une sensation de gêne, d’irritation, jusqu’à des perturbations plus fonctionnelles.

Les « points cancer ».
Les perturbations géologiques telles que les veines d’eau souterraines, les failles, les crevasses, les veines minérales, les filons métallifères et les remontées de gaz naturel, se révèlent encore plus pathogènes lorsqu’elles se superposent au quadrillage « H » par effet cumulatif, créant ainsi un « nœud géopathogène » ou « point cancer ».

Autres réseaux.
Il existe d’autres réseaux telluriques, Curry, Peyré….tous ces réseaux ont un maillage différent et ont une incidence sur la vie dans la zone où ces bandes sortent de terre, certains réseaux sont même très bénéfiques pour la santé. Ces autres réseaux feront l’objet d’articles spécifiques.

Le rôle du géobiologue est justement de repérer ces réseaux et de conseiller judicieusement les gens qui font appel à lui avant de construire une maison ou pour harmoniser un lieu de vie.

Les lignes telluriques et leurs alignements avec les structures mégalithiques sur Terre

Les lignes telluriques et leurs alignements
avec les structures mégalithiques sur Terre

La preuve de civilisations plus avancées que la nôtre ainsi que nombres d’éléments d’un savoir scientifique perdu existent.
La terre est recouverte d’une multitude de réseaux formant des grilles. Il est certain que les cultures anciennes qui sont supposées avoir une  «compréhension limitée de la physique», connaissaient les énergies subtiles de la Terre et de ses grilles.
Le fait est que les grilles parcourent le monde. Elles forment un vaste système, des réseaux complexes  et structuré composé par  les lignes telluriques qui ont été marquées, pointées et délimitées  par des structures mégalithiques y compris les dolmens, menhirs et cromlechs autour de la Terre. Les structures mégalithiques se trouvent partout dans le monde représentant l’emplacement précis des lignes d’énergie de la Terre. Au Royaume-Uni, en des endroits comme Avebury et Stonehenge par exemple, elles sont situées sur de puissants courants telluriques.

Les lignes telluriques ont été  retrouvées et redécouvertes  un peu partout dans le monde et de nombreuses cultures dans le passé ont fait référence aux lignes d’énergie de la Terre de diverses manières.

Les Chinois les appelaient les courants de dragon dans l’art ancien du Feng-shui, l’art d’équilibrer et d’harmoniser la Terre. C’est en construisant des pagodes, des temples et des structures de pierres qu’ils croyaient que cela  aiderait  à guérir la Terre. Le Feng-shui est à la terre ce que l’acupuncture est au corps, il régule la circulation du Chi, la force de vie éthérique invisible.
Les aborigènes australiens  nommèrent  lignes de la grille d’énergie, les lignes de rêve qui pourraient être expérimentées dans leur temps de rêve, un état de conscience accrue.

On a également découvert que toutes les pyramides et les ziggourats (pyramides à sommet plat), ensembles de temples sacrés et des cercles de pierres du monde entier ont été placés sur des sommets de grille de la Terre.
Les temples des Mayas du Yucatan, les pyramides de Gizeh et le plateau de la pyramide blanche au Tibet, la pyramide de Khufu  (Cheops en grec) ne sont pas posées au hasard. La raison pour laquelle les anciens ont choisi le plateau de Gizeh pour l’emplacement de la Grande Pyramide est parce que cet endroit est le centre du plus puissant  d’énergie éthérée .

En CHINE le tombeau de l’empereur qin shi huang

Au MEXIQUE
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GIZEH en EGYPTE

La plupart des gens connaissent que les  pyramides existantes en Egypte et au Mexique, mais les pyramides sont dispersées partout dans le monde en Chine, au Japon, en Equateur et El Salvador. Au Mexique (Chichen Itza), au Guatemala, et au  Pérou (Machu Picchu) et en France. Certains archéologues pensent que les pyramides se trouvent aussi bien en Europe. Ils ont trouvé  des collines anormales  et couvertes par la terre qui ont la forme d’une pyramide, en Angleterre à Silbury Hill, en Italie, en Montevecchia (3 formes pyramidales possibles), en Serbie, en Bosnie   et en Allemagne.

Nous n’avons rien inventé, tout existe sous nos yeux, il nous suffit d’observer et de comprendre les messages laissaient par nos prédécesseurs.

Une histoire vraie

Les perturbations tellurique peuvent agir très vite

Dans un autre constat établi par le docteur Hartmann (Eberbach, Neckar), une femme de 30 ans, excellente sportive, exerçait sans problème son métier d’institutrice.
Son mariage était heureux, le couple déménage dans un immeuble très moderne, construit en béton armé, largement équipé de baies vitrées.
Au bout de trois mois, cette femme commença à maigrir et à souffrir de tiraillements douloureux au fond de la gorge, les examens chez un spécialiste otorhinolaryngologiste ne donnèrent aucune indication.
À la longue, sans que des signes cliniques puissent être décelés, il s’en suivit une profonde dépression, puis une invalidité complète, six mois après son déménagement, cette femme était méconnaissable. Ce changement était-il en rapport direct avec la construction, les matériaux, le conditionnement d’air ou était-il propre à la constitution de cette jeune femme ?…
En fait, l’expertise géobiologique de sa chambre à coucher révéla un nœud du « réseau H » exactement dans la région du cou, au niveau de son lit, l’appareil de mesure, récepteur d’ondes ultracourtes, confirma de fortes perturbations sur cette zone précise.
Un simple échange de lit et une disposition correcte en zone neutre dans une chambre voisine permit à cette femme de retrouver du jour au lendemain des nuits satisfaisantes, et son équilibre général s’améliora rapidement sans traitement particulier, elle n’eut plus aucun symptôme à la gorge, et reprit son activité professionnelle au bout de quelques semaines.
À la lumière de cet exemple, on pourrait penser que l’habitat moderne, de par sa structure armée de barres de fer, ses matériaux à faible perméabilité, en d’autres termes, de par son côté quelque peu inorganique, a une part de responsabilité importante dans les modifications de l’état de santé des individus.
Mais d’autres expériences, menées à grande échelle sur de vieux quartiers, prouvent que l’habitat ancien n’est guère plus protecteur.
Dans ces vieux quartiers, ce ne sont pas les effets secondaires du béton armé et des matériaux modernes qui entrent en jeu puisqu’il s’agit souvent de constructions en pierre ou en brique. Ainsi, dans la relation santé-habitat, les causes d’implantations défectueuses et les conditions d’aménagement intérieur sont prioritaires sur la qualité constitutive des murs et des cloisons.