La géobiologie dans les fermes

CE MILIEU QUI INFLUENCE LES ANIMAUX

Mammites récurrentes, taux cellulaires anormales, comportement anormales, entrées dans la salle de traite difficile, quand la conduite de l’élevage est hors de cause, il faut peut-être songer à des problèmes géobiologique ou électrique.

La géobiologie va permettre d’évaluer les influences du milieu, visible ou pas. Les influences peuvent être d’ordre naturel: le sol et la roche-mère servent de filtre aux échanges électromagnétique entre la terre et l’atmosphère. ces échanges « énergétiques » seront perturbés à l’aplomb des passages d’eau, des failles géologiques, des cavités souterraines…

Les animaux ressentent très finement dans leur corps jusqu’à vivre des stress importants. Ces phénomènes sont connus depuis la nuit des temps. l’éleveur devra renforcer sa vigilance avant d’implanter des bâtiments et à leur conception d’autre part en particuliers sur la salle de traite, les lieux de couchages…

LES PERTURBATEURS

En général il est possible d’améliorer chaque situation de façon spécifique pour compenser les perturbations subtiles en utilisant des pierres informées, de tracés régulateurs et autres correcteurs.

Aujourd’hui le développement des nouvelles technologies utilisant l’électricité, l’informatique et des moyens de communications comme le WiFi et autres ondes à hautes fréquences n’est pas sans nuisance sur les troupeaux. A l’intérieur de la ferme il n’est pas rare d’observer des pollutions importantes.
Par exemple, en salle de traite, les transformateurs, les bobines, les néons vont engendrer des champs magnétiques très élevés créateurs de courants induits sur des tubulures ou dans les murs d’où le mal être des bêtes.
Afin de stopper ces nuisances il peut être intéressant de déplacer des transformateurs, de remplacer les néons ou encore d’ouvrir des boucles métalliques.

La qualité de la mise  à la terre est primordiale et permet d’évacuer certains courants vagabonds.
Ces courants électriques parasites (« courants vagabonds » sont des courants
électriques dont la circulation n’est ni souhaitée, ni maîtrisée. Ces courants sont source d’inconfort et même de stress pour l’animal, et par conséquent pour l’éleveur.

Les 2 origines les plus fréquentes:

  • Une origine interne à l’élevage, liée aux nombreux équipements électriques et électroniques, structures et matériels métalliques présents sur l’exploitation.
    Un dysfonctionnement des installations électriques et/ou des équipements de l’exploitation est souvent en cause (défaut de mise à la terre, absence de liaisons équipotentielles). Les intempéries, l’humidité, les poussières, les chocs et la corrosion (notamment par les lisiers, aliments et engrais) accélèrent leur dégradation et augmentent les risques d’incidents d’origine électrique.
  • Une origine externe à l’élevage, liée aux équipements et réseaux électriques proches de l’exploitation agricole. La présence de ligne à haute tension ou très haute tension (HT ou THT), une mauvaise terre sur un transformateur EDF par exemple, génère des champs électromagnétiques pouvant interagir avec les structures métalliques à proximité et provoquer l’apparition de courants parasites (induction électrostatique ou magnétique). En élevage, les courants parasites parcourent les éléments conducteurs, le sol et les structures métalliques de l’exploitation et peuvent accidentellement circuler dans le corps de l’animal.
    Les vaches laitières sont très sensibles à ces phénomènes, souvent imperceptibles par l’homme. Les études scientifiques montrent que la résistance corporelle de la vache varie de 500 à 1000 ohms, contre 1000 à 5000 ohms pour l’homme.

Toutes ces nuisances influencent fortement les animaux allant jusqu’à provoquer du cannibalisme chez les porcs, des baisses d’immunité, des nervosités anormales.

Une analyse minutieuse de l’environnement, des mesures des champs électromagnétiques, la vérification par un spécialiste de l’installation est le moyen radical pour stopper les nuisances et retrouver un élevage en bonne santé et une production normale.

LES POSTES DE CLÔTURES;

La clôture électrique est un système en circuit fermé où le courant est transmis par les fils. Au contact de la végétation d’un animal ou, le courant passe par le sol et revient à l’appareil par l’intermédiaire des piquets de terre.

La prise de terre de la clôture doit être éloignée d’au moins 25 m de la terre du bâtiment d’élevage pour ne pas affecter le circuit de terre de celui-ci.
La plupart des conducteurs utilisés ne respectent pas les qualités d’isolement électrique requises (diélectrique trop faible).

Les câbles électriques servant à transporter le courant des clôtures ne doivent pas passer près d’une masse métallique du bâtiment d’élevage au risque de générer des tensions parasites à sa surface (couplage capacitif).

CE QUE JE PEUX FAIRE POUR VOUS

Je peux vous aider en faisant une vérification « simplifiée » des risques électriques : vérification de la prise de terre et des liaisons équipotentielles des masses en contact avec les animaux d’élevage (salle de traite,
cornadis et logettes).

Contenu de l’intervention.

A l’aide de matériel de contrôle de champs électriques et magnétiques et de mesureur de terre je peux réaliser les mesures suivantes.

Les 10 points de mesures et de contrôles que je réalise pour cette vérification»:

  • Vérification à partir des schémas électriques de l’installation et de la conformité des schémas avec la réalité du lieu.
  • vérification des liaisons équipotentielles des principaux éléments métalliques en contact avec les animaux d’élevage (salle de traite et cornadis).
  • Vérification visuelle des Armoires, coffrets électriques, boites de dérivation (états, propreté…)
  • Vérifier que le calibre des fusibles et disjoncteurs correspond aux câbles en aval.
  • Fixation et état des câbles, gaines et goulottes en amont et en aval des tableaux.
  • Conformité de l’indice de  l’indice de protection IP 35 (au minimum) des matériels.
  • Les tensions entre phase mesurées ne doivent pas être inférieures à 10 % de la valeur théorique et ne doivent pas être supérieures à 6 % de la valeur théorique.
  • La tension entre terre et neutre est mesurée sur une prise de courant ou dans l’armoire générale. La tension doit être faible avec une valeur inférieure à 6V (et idéalement inférieure à 2V).
  • Vérification de la prise de terre. Une prise de terre correcte permet un bon écoulement des courants de défaut. La valeur de sa résistance est primordiale dans la chaîne de sécurité. Couplée à un interrupteur différentiel, la mise à
    la terre permet de limiter les tensions de contact et écarte tout danger pour les usagers et animaux. La valeur mesurée doit être inférieur ou égale à 18 Ohms afin d’assurer un confort optimal pour les animaux pendant la traite.
  • Vérification  de la conformité des postes de clôtures

Suite à ce premier diagnostic s’il s’avère nécessaire d’approfondir les recherche, elles devront être faire par une personne habilité à minima BT-BR connaissant bien le milieu agricole.

Des menhirs, pour un meilleur taux vibratoire sur la ferme

Source : https://www.entraid.com/articles/menhirs-meilleur-taux-vibratoire-ferme

Sourciers, guérisseurs, rebouteux… Malgré le manque de fondements scientifiques, certains de nos contemporains font régulièrement appel à ces méthodes ancestrales. D’autres les considèrent comme de la pure superstition voire du charlatanisme.

Cédric Foliard, éleveur en Ille et Vilaine, fait partie de ceux qui y croient. En 2017, quatre menhirs ont été installés dans ses prairies et orientés vers sa ferme, au lieu dit Beaulieu à Moutiers. «Le géobiologue est venu ici. Avec son pendule, il a repéré des méridiens à plus de 100 mètres de profondeur. Ce sont des failles dans le sol où de la bonne énergie ressort. Il a ensuite détecté plusieurs points autour de la ferme où des menhirs devaient être installés auparavant», explique-t-il.

La géobiologie est une discipline qui traite des relations de l’environnement, des constructions et du mode de vie avec le vivant. Elle étudie l’ensemble des influences de l’environnement sur le vivant, et notamment celles des ondes liées aux champs magnétiques et électriques, courants d’eau souterrains, failles géologiques, etc.

Étymologiquement, il s’agit d’une association de la racine géo (la terre) et biologie (l’étude de tout ce qui est vivant).

L’OBJECTIF EST AMÉLIORER L’ÉQUILIBRE GLOBAL DU LIEU

Les menhirs de Cédric, comme ceux de plusieurs agriculteurs de la région, sont réapparus récemment dans la campagne. Chaque caillou a une orientation (haut/bas). Il est enterré sur environ 40 cm et possède deux faces qui «pulsent» pour recevoir les énergies négatives et les transformer en énergie positive afin d’obtenir un «bon taux vibratoire».

Cédric croit en une sorte de sommes d’énergie qui peut améliorer le fonctionnement global de son foyer et de sa ferme. Il voit dans l’arrivée de ces menhirs la possibilité de capter les «mauvaises ondes» …(1)… qui pourraient venir perturber le bon fonctionnement du vivant et donc de son terroir et de son troupeau

Mes remarques

1 => j’ai tronqué l’article car il était écrit que Cédric pense que les menhirs vont neutraliser les ondes électromagnétiques des portables et du Wi-Fi, par expérience je sais que non. Les pierres vont bloquer les nuisances venant du sous-sol, ils vont rétablir l’équilibre cosmo-tellurique, ils vont faire monter le taux vibratoire du lieu, ce qui pourra être que bénéfique pour son exploitation si les pierres sont bien placées et si tout a été pris en considération, mais si vous venez avec des appareils de mesures vous aurez toujours l’antenne du coin, la THT, le wi-fi… qui émettent des ondes.
Le milieu agricole est, quelques fois, beaucoup plus complexe à traiter que le milieu grand public. La dimension des bâtiments et leurs principes de constructions, la qualité de l’installation électrique, qui est souvent une des premières causes de problèmes…
Un vrai professionnalisme est nécessaire et quoi qu’en pense certains scientifiques, ça marche… mais comme m’a dit un client « j’en parle pas, mes voisins vont me prendre pour un fou et pourtant mes bêtes et moi sommes  tellement mieux maintenant »